Archives par mot-clé : management

Notre personnalité

Les constituants de notre personnalité

Il y a beaucoup de modèles qui s’intéressent à notre personnalité. Certains cherchent à en déterminer les parties consciente et inconsciente, d’autres l’ego, l’essence, les valeurs, les croyances, etc. S’y retrouver dans toute cette matière reste très compliquée, avec des approches neurologique, psychologique, comportementale tellement différentes qu’elles en sont parfois contradictoires. Je m’y perds encore.

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Manager jongleur

Manager hybride, futur jongleur ?

Mon complice Sylvain Loubradou (lien) et moi-même animions ce lundi 14 juin un webinaire participatif sur le thème du management hybride. Avec les participants, nous nous sommes demandés comment manager les équipes à la fois en télétravail et en présentiel, et cette interrogation a vite surgi : manager hybride, futur jongleur ?

Enjeux et définition
La définition du management hybride est simple : c’est le management d’une équipe combinant du travail au bureau et du travail à distance. Les enjeux le sont moins :

  • le partage et l’accès à l’information
  • la communication
  • la sécurité
  • l’expérience des collaborateurs
  • la cohésion d’équipe
  • la place de l’informel

Ces enjeux remettent en question le modèle organisationnel, et nous invitent à envisager de nouvelles modalités de collaboration, avec un impact clairement au niveau de la culture d’entreprise.

Comment s’y prendre ?

Nous avons la conviction que le travail hybride présentiel / distanciel est en voie de généralisation et de pérennisation. Mais c’est la seule conviction que nous ayons ! En effet, l’ampleur de la bascule vers le travail et la rapidité de la transition liées à la crise du Covid en font un phénomène tout à fait nouveau, pour lequel il y a très peu d’experts établis ni recettes miracles applicables à tous sans discernement. Quelques facteurs de variabilités pour se donner une idée de la diversité des situations rencontrées :

  • Nature du métier et nature du travail
  • Appréhension ou désir de revenir sur site
  • Quantité de personnes et/ou de jours en télétravail
  • Phénomènes générationnels et appétence pour les outils digitaux
  • Facteurs hiérarchiques
  • Convention collective ou accord d’entreprise
  • Passé et expérience du télétravail dans l’équipe
  • Disponibilité des installations physiques et capacités techniques…

Nous faisons donc le pari de l’intelligence collective et de l’agilité.

Un outil collaboratif
Tout le monde va expérimenter. Il est très important d’adapter et de personnaliser à chaque situation, équipe, entreprise. Nous proposons donc un format d’atelier de transition vers le management hybride, qui peut s’animer à distance ou en présentiel. Il peut être intéressant soit de l’animer au sein d’une équipe avec les collaborateurs et leur manager, soit entre managers pour partager les difficultés et les bonnes pratiques, et ainsi créer de l’entraide.
Il est ainsi possible d’identifier, comme nous l’avons fait ce 14 juin, les thématiques et pratiques principales, de les classer en disant s’il faut les garder, les développer, les diminuer, les stopper ou en créer de nouvelles. A partir de là, les outils que nous utilisons permettent facilement à l’équipe de prioriser et choisir des pistes d’actions concrètes collectivement.

Intéressés ? Alors contactez-nous ici frederic@fcube-lab.com

Un nouvel équilibre

Nouvel équilibre

Il n’y aura jamais de retour au management d’avant la crise, il faut se sortir ça de la tête et rechercher un nouvel équilibre en tant que manager, pour soi et son équipe. Cette recherche d’équilibre, c’est selon notre modèle de la résilience organisationnelle. une étape essentielle. Sauter directement de cette longue phase de crise, où résister n’aura pas été un vain mot, au rebond du renouveau et de l’innovation sans s’être posé ni avoir rechargé les batteries est risqué, voire dangereux. Nous voyons cette pause pour réfléchir à l’évolution du rôle du manager comme une occasion de recréer du lien, d’apprendre de la crise, de recharger les batteries et de se préparer pour la rentrée !

Les 5 dysfonctionnements d’une équipe selon Patrick Lencioni

Notre expérience d’accompagnateurs de changement au sein de nombre d’équipes de direction, nous a convaincus de l’importance de la confiance et du savoir-être.

Nous observons sans cesse qu’une équipe est un système complexe et qu’il ne suffit pas de regrouper quelques personnes talentueuses et bien intentionnées pour qu’elles soient solidaires et travaillent ensemble de façon efficace. Ce qu’une équipe de direction sera à même de produire comme résultats dépend autant du savoir-faire (modèle de gouvernance, clarté des objectifs et des rôles, modalités de la prise de décision, qualité du management participatif, etc.) que du savoir-être (les comportements adoptés ainsi que les ressentis, croyances, attentes et perceptions de chacun par rapport à ses collègues).

Livre Patrick Lencioni
The Five Dysfunctions of a Team

Dans nos missions d’accompagnement d’équipes, nous nous inspirons du modèle de Patrick Lencioni, basé sur son best-seller The five dysfunctions of a team. Il ressort de ce modèle en pyramide les 5 dysfonctionnements d’équipe les plus fréquemment cités. Chez F-CUBE, en transformant chaque dysfonctionnement en facteur de succès, nous avons construit notre approche sur les 5 comportements à promouvoir pour gagner en cohésion d’équipe et en efficacité, qui peuvent être vus comme 5 niveaux de maturité successifs qui se construisent les uns après les autres.

Et comme l’indique clairement le modèle (voir le schéma ci-dessous), tout commence par la confiance, qui se marque chez chaque membre de l’équipe par la conviction que l’intention des autres est bonne et par la disposition à montrer sa vulnérabilité : il n’y a pas besoin d’être sur mes gardes car ils ne risquent pas d’utiliser mes points faibles ou mes erreurs contre moi.

Quand la confiance est installée (niveau de maturité 1), les gens osent s’engager dans des discussions passionnées et parfois émotionnelles sans avoir peur d’être pénalisés, ce qui ouvre la voie au deuxième niveau de maturité du modèle : la confrontation saine et les échanges en profondeur, garantissant l’engagement plein et entier derrière les décisions (niveau de maturité 3). Cet engagement acquis,  chacun sera naturellement enclin à se sentir partie prenante des décisions et co-responsable de celles-ci (niveau de maturité 4). Les membres de l’équipe font alors en sorte que les décisions se transforment en actes. Pour s’assurer que les décisions prises ont réellement pris corps dans le quotidien de l’entreprise, ils seront alors attentifs à ce que les actions auront produit, c’est à dire aux résultats (niveau de maturité 5). Ainsi, la confiance, par ricochets si l’on peut dire, construit la capacité de se dire les choses librement, qui produit l’engagement, qui produit la concrétisation et la réalisation de l’intention initiale. C’est la réalisation conforme à cette intention, on pourrait dire alignée ou congruente, qui est la performance de l’équipe, en perpétuel devenir.

Il est important de souligner que la maturité d’un groupe n’est pas la moyenne ou la somme de la maturité des individus qui le composent : c’est la somme des talents, des savoir-être de ses membres, ET de la totalité des interactions entre eux.

 Nous pouvons avoir au sein d’un comité des personnes à la conscience large et d’une grande maturité sans pour autant avoir un groupe fonctionnel. Le groupe a sa propre échelle de développement. Il est néanmoins certains que plus les membres sont matures, plus le groupe a des chances de dépasser ses difficultés et de se développer rapidement. Mais c’est bien sur le nombre des interactions et la qualité des relations que le niveau de développement d’un groupe se définit, comme tout système complexe.

Les possibles dysfonctionnements d’un comité de direction, d’administration, de projet ou de tout autre organe de gouvernance sont pour ainsi dire tout à fait normaux. On observe des stades de maturité différents dans l’évolution d’une équipe, et donc des degrés de fluidité et de leadership différents dans leur fonction si particulière de gouvernance dont dépend le reste de l’organisation. Positionner et prendre conscience du niveau de maturité de son groupe / équipe permet d’agir au bon endroit, avec les bons outils, et de construire le parcours de développement qui convient. Si vous voulez en savoir plus sur le parcours F-Cube et si vous êtes intéressés par une évaluation du niveau de maturité de votre équipe, contactez-nous ici .

Innovation Managériale et Design Thinking

Design thinking : 
en quoi l’usage, le sens et le plaisir peuvent être les facteurs clés de votre innovation managériale ?

23 mars 2017 – Une rencontre de la communauté Ecobiz RH & Management

Atelier conférence pour expérimenter concrètement le design thinking, ou comment développer des solutions désirées par vos  collaborateurs et vos clients.

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Les intervenants : 
Frédéric LOSFELD – Fondateur F-Cube
Raphaël BAGLIONE – Door To Innovation / Partenaire F-Cube

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ATELIER PRATIQUE

L’atelier animé par Raphael BAGLIONE et Frédéric LOSFELD propose d’aborder une thématique choisie ensemble. Les participants se sont librement répartis en deux groupes selon leurs envies.

Phase préparatoire : Election des deux problématiques à traiter et formation des groupes

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L’intention de cette phase est une  mise en mouvement du groupe basée sur l’envie et la motivation immédiate. Le processus de sélection est donc rapide et parmi les 6 problématiques proposées, les deux retenues sont :

  • « Développer le travail d’équipe et la collaboration »
  • « De nouvelles compétences pour innover et créer »

 

Astuce F-CUBE : Des marqueurs et des post-it de petite taille, car « un gros stylo et un petit support obligent à être focus ».

Phase 1 : exploration de la problématique

Principe :

L’intention de cette phase est de réfléchir ensemble en éliminant les silos érigés autour des « experts » et des « compétents ignorants ».

Les participants doivent répondre à 2 questions avec 3 possibilités de réponse par question (utilisation des post-it) :

  • Question 1 : le sens – pourquoi ?
  • Question 2 : projetez-vous !

 

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En suit une activité de « gaming » et d’organisation des productions des participants (outputs).

Mise en évidence des relations de cause à effet entre le sens et les bénéfices. 

Six sous-thèmes se dessinent que l’on peut organiser graphiquement en six cadrans. Le fait de les nommer facilite cette répartition :

BONHEUR – FLUIDITE – REUSSITE – COLLECTIF – CREATIVITE – TALENTS.

Développer le travail d'équipe et la collaboration

Durant ce travail collectif, la parole est libre. Les participants en profitent pour s’arrêter sur la forme du débat lui-même : ils notent que l’écoute et le simple fait d’échanger sur notre manière de fonctionner ensemble – ce que l’on fait rarement en entreprise –  amènent à s’interroger sur le sens que chacun donne aux mots et aux connexions des mots entre eux.

Des questions de fond émergent comme :

  • L’adaptabilité est-elle reliée à la communication ?
  • Pourquoi le « lâcher prise » est-il si isolé des autres notions?
  • Faut-il rattacher le « cadre » à la « bienveillance  » ?

 

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Phase 2 : Customer journey

L’intention de cette phase est d’identifier les difficultés (pains) et les facilités (gains) d’un persona clé à partir des problématiques identifiées à la phase 1.

Michèle, manager, est la « persona » choisie par le groupe 1. Son « job to be done » est la problématique centrale sur laquelle le groupe 1 a travaillé :  » Développer le travail d’équipe et la collaboration ».

Le « pain & gain game »

Il s’agit ensuite d’examiner les tâches de Michèle (définies sur le cadran) et d’analyser en quoi elles sont faciles ou difficiles pour elle.

Par exemple, pour Michèle, la tâche 1 « Lâcher prise pour être plus créatif », se décompose ainsi :

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Phase 3 : Feed back avec les deux groupes réunis

L’intention est dans cette dynamique apprenante, de faire émerger les innovations apportées par l’approche

La phase de feed-back est indispensable à la méthode. Elle prend une forme classique de constats, étonnements et questions/réponses.

feedbackParvenir à travailler ensemble sans se connaître

Nous avons tous été actifs et acteurs, nous avons partagé sans barrières alors qu’ll y a 1h30, nous ne nous connaissions pas. La mobilisation a été rapide. Nous sommes passés au-delà de nos certitudes individuelles pour parvenir à un travail commun.

Quel est le rôle des pastilles de couleur sur nos badges ?

En portant du jaune, de rouge, du bleu, on se différencie de notre être pour ressentir notre appartenance au groupe des jaunes, des bleus, etc :  « Vous n’avez pas eu besoin de vous définir davantage, ni à travers votre fonction, ni à travers votre entreprise ». Nota : en début d’atelier, les badges ont été distribués sans explication, comme un simple élément de règle du jeu.

 

Parvenir à avancer vite : efficacité de la méthode

Nous avons traité de sujets qui pourraient générer des débats sans fin mais pourtant nous avons avancé très vite, en une heure.


Peur de laisser quelque chose de côté, d’oublier

« J’ai eu peur qu’on oublie des choses importantes, par exemple la créativité. Nous nous sommes aussi focalisés sur le « lâcher prise » en oubliant « être soi », deux notions que nous avions pourtant classées ensemble.

  • L’approche itérative de la méthode complète permet d’aborder rapidement toutes les facettes de la problématique.

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Le rôle de la persona

« La persona est arrivée très tôt, j’ai eu peur d’une réduction de l’approche en ciblant ainsi une personne ».

  • L’ambition de cet atelier était de faire vivre l’approche F-Cube aux participants. La démarche complète se déroule sur plusieurs jours, pas en 1 heure !

 

Importance de faire s’exprimer tous les points de vue, faire place aux différentes perceptions de chacun dans le groupe, prétexte à clarifier les mots

Ce qui m’intéresse le plus est le fonctionnement du groupe. Dans les mots, il y a des interprétations très larges et la méthode permet de répondre au besoin de clarification des mots, au besoin indispensable de parler le même langage. Cette méthode peut être le prétexte à clarifier le sens des mots.

Conclusion

Cet atelier avait pour ambition de faire vivre l’approche F-Cube. Le groupe n’en a vécu que quelques éléments. Les étapes suivantes :

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Le champ d’application de la méthode

« Est-ce que cette méthode est applicable à tous les sujets ?

  • Oui, absolument, cette méthode est applicable dans le champ de l’engagement des collaborateurs, de la mise à plat des processus d’innovation, du développement de la coopération, du lancement de nouveaux projets, de la transformation de l’organisation existante pour être et faire mieux… »

Formation Paris – « Management du 21ème siècle »

Mardi 8 novembre 2016, de 9h15 à 17h30

Cliquez ici pour vous inscrire

A destination des Dirigeants, Managers, RH

En réponse aux transformations profondes et rapides que vivent nos organisations aujourd’hui, il existe des alternatives au management vertical traditionnel. Elles sont sources de réussite de l’entreprise et de bien être au travail. Nous vous proposons une journée inspirante avec des ateliers d’échanges, une rencontre unique avec un leader de 35 ans d’expérience dans une entreprise sans hiérarchie, et des pistes pour aborder une transformation de votre organisation existante.

Les animateurs de la formation :

Frédéric LOSFELD, Isabelle BELOT et Edouard FRIGNET vous transmettront :

  • L’expérience réussie de l’entreprise WL GORE
  • Le parcours de transformation Fluide, Fun et Frugal
  • Avec Thibaud BRIÈRE, qui nous accueille, et qui partagera celle du Groupe HERVÉ

 

Le lieu

Groupe Hervé – 21, boulevard de Grenelle – 75015 PARIS

M6 Bir Hakeim – Station Velib n°15026

Coût de la formation : 850 € HT par personne (déjeuner inclus)
Convention de formation individuelle sur demande (programme détaillé)

Management du 21ème siècle : son nouveau rôle

Après le succès de l’année dernière, le cycle de formation « Management du 21ème siècle » mené avec notre partenaire Liberté & Associés est reconduit cette année, avec un nouveau format à la journée pour mieux approfondir les sujets et donner plus de place aux échanges.

L’atelier formation est programmé le mercredi 5 octobre 2016, de 8h45 à 17h. 

Nous vous espérons nombreux au Centre d’Affaires de l’Aéroport Saint Exupéry de Lyon !

Belle rentrée à vous et à bientôt,

Cliquez ici pour voir l’invitation et vous inscrire

La place du style et de l’élégance

Plutôt que de donner une définition du style, j’aimerais illustrer d’une expérience chère à Eric Julien ce que j’entends par là : achetez quatre cafés à la voiture bar TGV, proposez-les à vos voisins de voiture, tous parfaitement inconnus, et observez leurs réactions. Selon Eric Julien, la première réaction est toujours la méfiance. Que penser d’une société où le don est suspect ?

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Formation management du 21e siècle : un succès!

25 participants venus de toute la région
L’atelier formation du 8 octobre animés par F-Cube et Liberté & Associés fut un réel succès : 25 participants étaient venus de toute la région, et même au delà, pour entendre le témoignage d’Edouard Frignet sur son expérience de 35 ans chez WM Gore, une entreprise non hiérarchique depuis sa création en 1958. Frédéric Losfeld a présenté la vision de l’entreprise Fluide, Fun et Frugale comme un parcours possible de la transformation managérailes des entreprises dont ce n’est pas la culture. Un troisième temps de la formation a permis d’expérimenter un atelier pratique permettant de mettre en oeuvre l’intelligence collective et l’entraide.
WL Gore et l’entreprise non hiérarchique
Bill Gore a créé son entreprise en 1958 avec un rêve : améliorer la vie des gens avec des produits innovants et travailler avec des associés autonomes. Avec aujourd’hui plus de 10 000 salariés (on dit associés chez Gore car chacun possède des parts de l’entreprise) sur tous les continents, plus de 3,1 milliards de dollars de chiffre d’affaires dans les secteurs de l’électronique, le textile, l’industrie et le médical, le groupe a largement fait les preuves de l’efficacité de sa vision.
Ses principes ? La liberté de parole et d’action, l’honnêteté, la ligne de flottaison (qui définit les limites de la responsabilité individuelle par rapport à la pérennité du groupe) et l’engagement.
Résoudre le problème de la transformation managériale
Si Bill Gore a créé son entreprise par conviction personnelle, les principes qui animent son mode d’organisation prennent aujourd’hui une résonance toute particulière dans ce monde qui change vite et en profondeur, et qui exige de nos entreprises de se transformer pour s’adapter. Autrement dit, ce qui était la vision de quelques illuminés il y a cinquante ans, puis d’autres plus récemment qu’on pourrait appeler les éclairés, la lumière reste à faire sur les organisations et le management des entreprises de demain.
Avec la complexité grandissante et l’incertitude qui l’accompagne, rien n’est écrit d’avance : l’avenir n’est plus prédictible, il n’y a plus de modèles d’experts à plaquer sur les entreprises. Nous ne savons pas à l’avance ce qui pourrait advenir. Il a donc été présenté lors de la formation un parcours plutôt qu’un modèle, à l’aide d’outils opérationnels, pour cheminer ensemble et aider les dirigeants et les mangers à créer un environnement propice au bien-être et à la performance.
Et la suite ?

Le 8 octobre a permis de donner le départ d’un cycle sur la transformation du management dans l’entreprise du 21ème siècle.

3 autres dates sont d’ores et déjà fixées en 2016 :

  • 28 janvier 2016 : La vision
  • 5 avril 2016 : Le leader accompagnateur
  • 5 juillet 2016 : L’engagement
À vos agendas !